Petit orc qui naquit ce jour là, avec par la
suite une enfance comme tant d'autre: une éducation guerrière dans les
légendes de Bellerophon et sa terrible escouade, de front légendaire
pour repousser des hordes de montres en lambeau , et autres créature
bizarres peuplant Romine...
En grandissant, mes yeux s'illuminaient
de jours en jours a force de contempler ces fier combattant avec leurs
armures flambant neuf, et l'idée de pouvoir devenir un jour l'un des
leurs ne faisait qu'effleurer mon esprit, car n'ayant pas les muscles
nécessaires je ne pouvais qu'espérer...
Les années passèrent et un jour restera a jamais marqué dans mon esprit a jamais.... tout commença alors:
Par
un beau jour d'automne, alors que je rodais; comme a mon habitude; aux
alentour du village en quête de quelque chose a faire, une voix
m'interpella:
"-Hey, salut toi!"
A mon grand étonnement, un noble orc, taillé dans le rock me faisais signe de la main.
Je m'en approcha et la conversation s'engagea entre nous deux.
"-Bien le bonjours cher frère; commençais-je.
-A te voir marcher comme cela, il me semble que tu n'a pas d'escouade..."
Ainsi
je fit la connaissance d'un barbare certes, mais qui devient un mentor
en quelque sorte, et nous marchions en discutais avec ElGringo d'un
rêve que l'on murmuraient Utopia...
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J'entendrais
toujours ce que me dit ElGringo ce jours là, que l'union fait la force
et que cette escouade; n'a de l'utopie pas que le nom.
Après mure
réflections , je décida de tenter l'aventure avec eux, et ainsi je fit
la connaissance d'orc fort gentils, originaux et fort singuliers:
Gaggerax nommé le soigneur fou , Palouf le chevalier et évidemment
ElGringo le sympathique barbare.
Grâce a ces nouveaux frères
d'armes, j'ai appris a combattre et à mettre mes talents fraichement
découvert au service des autres. Dorénavant ce temps passé à trouver
quoi faire de ma journée me fut bénéfique, car avec cette ennuie
quotidien la patience était mienne , et les soins mineurs, je savais
les prodiguer!
Fier de cette révélation, je marchais avec ces
nouveaux camarades pour de grands combats, de belles quêtes. Mais il me
faudra cependant du temps pour me faire a cette nouvelle vie...
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De
retour quelques mois plus tard; c'est vraiment à ce moment que je
rendis compte de mes progrès; nous retournions aux villages pour
trouver de nouveaux frères.
En passant à coté de petits orc, je
voyais des yeux illuminé , pas forcement devant moi, mes devants ces
orc qui marchaient ensemble et fier! J'en avais la larme à l'œil de les
voir ainsi car je me revoyais forcement plus jeune dans le même états
qu'eux, et fort ridicule par la même occasion!^^ En plus je ne rentrais
plus dans ces vieilles peau que je portais durant mon enfance.
Bref,
après plusieurs allez retour entre le village et les batailles, Utopia
grandissant et connaissait des membres tel que Demouz le vide poche ou
encore Lucrece noble marchande
Cette petite bande de marmots commençait à prendre de l'ampleur sur Romine...
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Quelques
mois plus tard, les choses étaient moins facile! ce front nous donnait
du fil à retordre et nos ennemis prenaient l'avantage! Une dernière
solution était en train de se monter avant d'envisager le repli.
Tout
le monde se met en place, et on peut lire la peur dans les yeux des
combattants. Tout le monde se prepare au grand moment et sort son épée
du fourreau. La troupe se mit....
..
..
..
..
..
Hum.. mes yeux me piquaient...
J'ouvrais mes yeux petit à petit pour voir un champ de bataille en ruine...
Des armes cassées, des boucliers fendus, des cadavres mais plus aucun Utopiens...
Que c'était-il passé? Fût-je considéré comme mort?
En reprenant mes esprits, je repris la routes pour retrouver les miens et faire le point sur cette bataille...
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Les jours passaient sans l'ombre d'un être vivant...
Le soleil rasant me brulait la peau tandis que les nuits me glaçait tout le corps, cela était insupportable...
En fouillant des mes souvenirs, je me rappela ces sombres tunnels, à l'abri du soleil, des vents et de Zildergalik lui même...
Labyrinthe que je trouva facilement, pour ensuite m'y engouffrer avec une certaine inquiétude.
Avançant avec une torche, qui ne servait à mon avis qu'à me faire repérer, je tremblais à chaque recoins de ces longs couloirs.
Après quelques heures de marches, je commençais à entendre d'étranges bruits au fond d'un couloir...
Après avoir posé la torche et bien saisi mon hallebarde, je m'arrangeais à faire le moins de bruit possible...
En
passant devant un cul de sac, j'aperçus au fond de celui-ci deux être
que je ne pouvais distinguer. E n m'efforçant de voir ce que c'était,
je me rendis compte que ce cul de sac était lieu d'une... copulation
assez bestiale...
Ce fut écœuré que je repris mon chemin.
Quelques
mètres plus loin, j'aperçus ce qui semblait être un orc. En
m'approchant de lui pour mieux l'observer, je me rendis compte que ce
n'était autre que Jola, qui montais la garde dans la salle principale
de ce labyrinthe!
Je decidais donc de m'approcher de lui sans
crainte, et quand celui m'apperçus, il n'eu d'autre reactions que de
fuir comme un hobgobelin!
Je rentra donc dans la sale et voir que toute la bande était là au grand complet!
Certains
en admiration devant un gisement d'une roche bleutée, Grimp ce grand
hussard, et les autres devant un feu de camp ou sous le fût de bière...
Je retrouve donc ElGringo le chef qui s'approche de moi avec Jola tremblant et caché derrière ses jambes.
"Mais
tu n'es pas mort toi??? Tu ne donnais plus signe de vie depuis ce front
avec les morts vivants! On a du te laisser sur place, car on te croyais
dans l'autre monde..."
Après des explications avec EG, ou je m'expliquais sur ce qui s'était passé depuis, il me demanda:
"-N'aurais-tu
pas vu Cosakeuh et Ladan par hasard? Ils sont partis en reconnaissance
dans le couloir sud, là d'où tu viens. Tu as du les croiser non?
-Non
Chef, je n'ai vu personne si ce n'est deux choses dans un cul de sac en
train de... Hô mon dieu... je pense que l'on ne les reverra pas ce soir
Chef..."
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Après quelques semaines passé dans ces couloirs, le nom d'Utopia est gravé en lettre d'or sur les murs du dédale. En repoussant ces hordes de zombies et les armées elfiques, nous entrons dans la légende, et devenons ainsi un mythe des terre rominiene.
En sortant de ce labyrinthe, les rumeurs de nos batailles se disaient même dans les rangs ennemis!
Épuisés, les sacs pleins de cette roche bleuté, nous décidions de retourner tous ensemble au village.
Tandis qu'ElGringo demandait à quelques sages que faire de ces roches nous retournions dans nos maisons prendre des nouvelles de nos familles, nous ressourcer et regarder les étales des différents magasins.
Comme prévu, nous reformions les rangs le lendemain, mais pas pour repartir en batailles, mais pour assister à une magie aussi bien extraordinaire que rare: l'alchimie. Fulubert nous expliqua les grandes lignes de cette arts, et quelques temps après, toutes les roches furent transformé en objets aussi divers que varié.
Après avoir pris ce qui nous était utile, les plus charismatiques d'entre nous allèrent vendre le surplus pour nous faire une petite cagnotte.
Alors que les transaction battaient leur plein, nos sentinelles aperçurent des silhouettes hostiles au loin: l'alerte fut donné aussitôt.
Alors que les défenses du village se préparaient, un lettre parviens jusqu'à nos rangs, mais une magie semblait la guider vers les mains d'un utopiens.
En petit comité, notre chef lisa à haute voix ces quelques lignes ecritent à la ha^te, mais avec une certaine élegance:
"
- Citation :
- Bien le bonjour amis utopiens.
J'ai eu vent de vos exploits, ainsi que mes frères d'armes.
Je voulais vous prévenir qu'un petit comité de mes semblables et moi-même arrivions sur vos terres.
Je vous envoie cette missive dans l'espoir d'un combat épique avec certains d'entre vous.
Chevaleresquement.
"
Cette lettre était signé de .... Rogal!
Un noble chevalier elfe, un des seul à être en mesure de communiquer avec nous autres les orcs.
La guerre allait prendre son plus bel aspect d'ici peu...
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Alors que le soleil se couchait derrière les collines au nord de notre village, quelque chose d'autre se levait...
Deux pointes précédaient un casque noir comme la nuit: Rogal surplombait la colline. Alors qu'une certaine fierté nous gagnait, on sentais une certaine gène du chevalier. On comprit vite pourquoi quand on vit quasiment toute la populations elfe arriver à ses cotés.
Un autre esprit s'empara de nous, lorsque les archers lancèrent leurs flèches, et que les barbares chargeaient en hurlant et encouragé par les incantations de leurs magiciens.
Les premiers coups sont comme à leur habitudes excitant, jusqu'aux premières blessures qui; au fil de la batailles; nous épuisent. Les ors se réjouissaient à chaque elfe tombant sous sa lame, mais ne voyaient-ils pas que leurs frères étaient inertes à coté d'eux? Cette bataille échappait à notre contrôle car l'ennemie est trop organisé pour le petit contingent que nous étions.
Le Chef ordonna le repli, mais pas dans notre village. Non car nous voulions visiter ailleurs, mais car ces être "de la nature" pillaient nos maisons.
Lors d'un feu de camp provisoire, dont l'humeur n'était pas à la fête et où je n'avais jamais vu notre Chef autant avide de revanche, il fut décidé de représailles: le village elfe et sont chemin perdu seront notre prochaine destination.
Les villageois pourront rependre leur maison du sang de leurs guerriers...